Nom : Volkov Prénom : Kazimir Feodoritch Âge : 16 ans Camp : Lyoko Guerriers Arme :Tsar Pouchka
Inspiré du roi des canons cette arme est un canon qui apparait sur le bras droit de Kazimir. Elle peut apparaître en combat selon la volonté de son utilisateur, et projette des tirs d'énergie de forme sphérique. En fonction du temps de chargement, Tsar Pouchka peut tirer des tirs de formes différentes: un tir rapide tendra vers une rafale de petits projectiles d'énergie, un tir basique donnera des boules d'énergie blanchâtre avec des étincelles bleues, tandis qu'un temps d'attente relativement long pour donner lieu à un laser. Des traits d'énergie peuvent se former autour du canon pour faciliter la visée.
Pouvoir : Cryokinésie
Affilé à ses origines sibériennes, ce pouvoir permet à Kazimir de contrôler le froid. Il est ainsi capable de modifier les paramètres de température dans le monde virtuel de Lyoko, pour l'abaisser et créer de la glace par la force de sa pensée. Cela lui permet entre autre de congeler les membres de ses adversaires, pour les clouer au sol, ou de geler les tirs de ses ennemis pour les neutraliser. Néanmoins ce pouvoir demande de la concentration et de l'énergie, ce qui épuise facilement un novice comme Kazimir, limitant ainsi dans le temps l'utilisation de la cryokinésie. Avec le temps, ce contrôle peut s'améliorer, et la température pourra diminuer encore plus, la zone d'action s'étendant par conséquent avec des effets encore plus dangereux.
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Kazimir, seize ans. Un personnage haut en couleur, portant avec lui les stéréotypes de l'homme du nord. Grand, avec son mètre quatre vingt, il arbore une silhouette agréable à l’œil. Svelte, sans être excessivement dans la maigreur anorexique, ses bras et jambes adoptent des courbes musculaires qui lui donnent un corps élancé. Son torse est développé certes, mais pas de quoi faire plaisir au regard des demoiselles. Néanmoins, il n'empêche qu'outre cette musculature dans la moyenne, le jeune homme sait se défendre. Adepte d'un sport de combat dans sa jeunesse, le sambo plus précisément, Kazimir sait se défendre contre les plus forts que lui. Un seul geste trop brusque de la part de la brute épaisse qui a osé s'en prendre à l'adolescent, et voilà qu'une clé de bras lui bloque le bras, au sol, avec une douleur qui le force à se repentir de son geste déplacé. Voilà l'efficacité du sambo, l'art martial russe, issu des services secrets de l'ex-nation soviétique. Un héritage parmi tant d'autres, tout comme celui de sa mère, qui lui a transmis son regard bleu. Deux pupilles d'un bleu digne des saphirs les plus rares. Deux billes, concentrés de l'élément aqueux, dans lequel nombreux sont les gens à se plonger, à se perdre, et à se noyer dedans. Outre ces yeux, le visage de Kazimir comporte divers éléments intéressants. Mis à part le nez, le menton un peu pointu et les oreilles, plutôt anodines, son sourire, carnassier par moments, est un bon moyen d'expression des idées du jeune homme. Il impose ainsi sa volonté, en intimidant par une risette son concurrent. Il peut aussi masquer son cynisme. Il peut enfin faire ressentir à ses proches la joie qui l'anime.
De plus, le natif des contrées russes couvre le dessus de son crâne d'une chevelure fascinante. Une crinière argentée, aux mèches tombantes sur le front du jeune homme et couvrant les oreilles de ce dernier. Quelques reflets bleus vient parfois embellir l'attirail capillaire du personnage. Voilà donc ce qui vous attend en croisant le regard de Kazimir. D'un point de vue vestimentaire, il sera habillé généralement du même genre d'habit. Lorsque le temps le lui permet, c'est-à-dire très souvent, il portera des minces pulls à capuche. Afin de se donner un genre, et surtout pour se moquer de la racaille, il se plait à porter la capuche sur sa tête. Outre son pull, aux teintes bleuâtres pour être en accord avec sa chevelure et son regard céruléen, Kazimir porte des jeans. C'est à la mode, ça lui va bien, et qui plus est, c'est aussi bleu. Il lui arrive également de porter des bas de jogging, mais plus rarement, quand l'occasion se présente.
Dans le monde virtuel de Lyoko, Kazimir arbore une apparence bien différente de celle qu'il prend dans le monde réel. En effet, son corps est recouvert d'une armure d'apparence fine et solide. Au toucher, elle semble lisse, et rugueuse par endroits, lorsqu'elle doit se courber pour s'adapter au corps de Kazimir. Foncée, l'armure indigo recouvre presque l'ensemble du corps du Lyoko-guerrier. Un plastron occupe le poitrail, des cuissardes couvrent les jambes et des protections recouvrent les bras du jeune homme. Par moment une espèce de casque trône sur la tête de Kazimir, lui donnant un air plus... divin. Sous l'air virtuel de Lyoko, il possède également un visage plus lisse, mais toujours ce sourire carnassier. Le guerrier en pixels s'arme également d'un canon qui prend la place de son bras droit. Tsar Pouchka - référence évidente au roi des canons, arme imposante et surtout héritage de l'empire Russe - est aussi en accord avec l'avatar virtuel de Kazimir. Lisse, imposant, il peut se rétracter à grande vitesse. En tant que Lyoko-guerrier, le russe se considère plus précisément comme l'artilleur du groupe: ses tirs à distance font de lui un élément redoutable au combat. En outre, avec ses capacités physiques du monde réel, il est capable de se battre sans avoir recours à son pouvoir ou son arme, ce qui le rend très dangereux.
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La mentalité de Kazimir est digne d'un véritable labyrinthe. Une fois entré dans son esprit, il est difficile d'en ressortir, tant il peut être complexe et compliqué de le déchiffrer. Et pour les plus simples d'esprit, s'il suffit pour eux de s'attarder au physique et au simple comportement du jeune russe, ils seront perdus d'avance. Sous ses airs de rebelle aisé d'un point de vue intellectuel, le Lyoko-guerrier cache une incroyable réflexion tourné autour de la psychologie. C'est un être qui aime se moquer des autres, sans se faire remarquer. Il aime ainsi piéger ses victimes en passant pour un hypocrite, à la manière de la société. Ainsi, avec son accent, il se plait à parler d'une façon courante, voire familière à ses camarades de Kadic. On pourrait le penser simplet, amusant, on peut le prendre pour un rebelle, alors qu'en réalité, il n'en est rien. Grâce à ses précédentes études en Russie, le jeune homme a acquis un certain savoir, qui fait de lui un élève assez impressionnant en classe. Le collégien, du fait de ses uns ans de plus par rapport à la moyenne de la classe, à de l'avance. Cet avantage lui permet de gagner du temps sur ses devoirs, et ainsi se consacrer à d'autres activités. En réalité, si Kazimir peut apparaître en cours comme un tir au flanc, il s'agit d'un personnage doté d'une forte volonté en dehors des salles de classe. Si les cours l'ennuient, les études du soir sur son bureau d'interne ne le dérangent absolument pas. Sa mère compte sur lui pour travailler, autrement son insertion au sein d'un collège français n'aurait servi strictement à rien.
Qui plus est, le jeune homme est plein d'ambitions. Son projet professionnel se tourne vers les sciences physiques. Outre son père, sa famille s'est toujours tourné vers la science. Avec une mère orienté vers les sciences médicales, deux grandes sœur travaillant en laboratoire - l'une pour des recherches en chimie, l'autre pour la création de nouveaux médicaments - et un oncle, frère de sa mère, travaillant en tant que mathématicien dans la nation russe, le nom des Volkov est synonyme de Sciences. Le pays natal de Mendeleïev a de quoi être fier.
Mis à part cette attitude chimérique, le jeune homme a aussi ses faiblesses. La première n'est autre que le sexe opposé: les filles. Dragueur dans l'âme, il aime le contact féminin, et encore plus de très près. Grâce à son intellect, il est capable, comparé aux intellos coincés qui peuplent les bancs déserts de foule du collège, de pouvoir tenir une conversation intéressante avec les demoiselles, avant de les charmer. Bien évidemment, Kazimir n'est pas un homme parfait, et il a plus souvent connu de râteaux que de victoires. Tel un Kasparov prévoyant, il se retient maintenant, et ne va "attaquer" que lorsqu'il est sûr de son coup.
Au combat, sur Lyoko, c'est la même stratégie. Jamais au corps à corps - ou du moins, très rarement - le russe combat de façon très tactique. Utilisant le terrain à son avantage, il combine son pouvoir pour affaiblir sa cible, pour pouvoir mieux blesser son adversaire avec son arme. Tsar Pouchka n'est pas très discrète, du fait de l'ampleur de ses projectiles, et c'est un peu dommage pour Kazimir, qui aspirait à avoir une forme de sniper, afin de jouer dans la finesse. Qu'importe, puisqu'avec son talent mental, le jeune homme est en mesure de se servir de son canon pour toucher avec précision ses cibles. Si l'occasion se présente, le Lyoko-guerrier use du sambo, l'art martial soviétique. Projectiles au sol, techniques d'auto-défense... le sport de combat et de défense a de quoi faciliter la vie du jeune protecteur de l'univers virtuel.
⇀ H I S T O I R E
En bon russe qui se respecte, l'histoire de Kazimir démarre sur les contrées de l'extrême Orient européen. A l'époque de la naissance du futur Lyoko-guerrier, l'URSS venait de s'effondrer il y a peu, et la Russie n'était à ce moment là qu'une jeune démocratie. C'est dans cette atmosphère floue, où des décennies de communisme subsistent et ont du mal à s'effacer avec le temps, que le jeune enfant grandit. Sa mère, la dénommée Alisa était originaire de Perm, une ville située au Sud de la Sibérie. Au cours de sa vie, la femme dut migrer vers l'ouest, et s'installa à Saint-Pétersbourg, où elle fit la rencontre de l'homme de sa vie, Feodor. Le couple eut trois enfants: deux filles, la première qui fut appelée Anna et la seconde Katya, ainsi qu'un garçon, le petit dernier Kazimir. La petite famille vivait en centre-ville de l'ancienne capitale de l'empire russe. Tout allait pour le mieux, d'autant plus que les Volkov vivaient avec aisance: les deux parents parvenaient tout deux à subvenir aux besoins et aussi aux plaisirs de chaque membre de la famille. En tant que médecin, Alisa assurait facilement les revenus, tout comme son mari.
Néanmoins, Feodor Volkov cachait un lourd secret. Un secret qu'il ne tenait pas à dévoiler à ses enfants, par sécurité. Même Alisa, l'âme sœur du grand brun, ne connaissait que partiellement l'existence de ce secret. Ainsi, Feodor travaillait pour les services secrets russes. Ce n'était pas là ce qu'il souhaitait cacher à ses enfants, bien au contraire. Le père de famille se plaisait toujours à conter quelques histoires effrayantes pour faire peur à ses enfants avant qu'ils aillent se coucher. Feodor rigolait même lorsqu'il s'amusait à parler d'affaires de goulag, ou de terroristes à ses progénitures. Néanmoins, son sourire amusé s'effaçait rapidemment lorsqu'il s'agissait de décrire la nature de son travail au sein des services secrets russes. Prônant le secret professionnel, le père de famille laissait penser à Kazimir que le russe au service de l’État n'était autre qu'un homme de grande importance. Chaque fois que son père lui racontait une histoire, il se représentait dans sa tête son père en action, espion ou responsable d'affaires importantes. Il valorisait toujours son paternel, le voyant comme un grand homme, craint et respecté de tous.
En réalité, sous ses allures de personnage emblématique, Feodor n'était qu'un vulgaire bureaucrate. Il n'avait jamais agi sur le terrain, et avait plus empoigné le stylo plume que le couteau ou le pistolet. Ses journées n'avaient rien d'extraordinaires, et étaient des plus banales. C'était ça, le secret de Feodor.
Mais lorsque vint le jour des révélations, la famille Volkov fut contrainte de se séparer. Le secret de Feodor était trop lourd à porter en présence de ces enfants. Alors, Alisa décida de quitter la Russie, avec Kazimir et Katya - Anna étant devenue majeure et ayant par conséquent quittée le domicile familial - et dut se séparer de son mari. La division, mais aussi le départ fut difficile, surtout pour le fils, qui eut du mal à devoir admettre qu'il ne reverrait plus de si tôt son père. Les affaires au boulot allaient mal selon lui, et il allait devoir se débrouiller seul désormais. C'était vrai, mais ce n'était pas totalement vrai non plus. Quoiqu'il en soit, ce fut à l'âge de treize ans que Kazimir quitta Saint-Pétersbourg, pour rejoindre Kaliningrad, ville principale de l'enclave russe, situé à proximité de la Pologne. La famille séparée y vécut là-bas environ un an, avant de rejoindre leur véritable destination. Comme une majorité de Russes, les Volkov avaient un excellent patrimoine linguistique, et notamment en français, une langue qu'affectionnait Alisa - fervente adoratrice de la culture et de l'histoire française - et qu'elle désirait transmettre à ses enfants. De ce fait, en tant que bons francophones, les trois Volkov rejoignirent la France. Ambitieux, Kazimir espérait bien pouvoir aspirer à son rêve: devenir un grand scientifique. Ce ne fut que trois ans plus tard que le jeune homme décida de se spécialiser dans les sciences physiques.
Une fois en France, Kazimir intégra le collège Kadic. Un institut lambda, parmi les autres établissements proposés par les grandes villes. Là-bas Kazimir développa son caractère rebelle, et au vu de ses ans d'avance sur le programme, comprit rapidemment le système éducatif. Comme en Russie, la petite famille vivait facilement, la mère gagnant un bon salaire, et la grande sœur assurant un bon job dans la filière scientifique. Tout allait pour le mieux. Et c'est dans cette nouvelle vie à la française que Kazimir fut intrigué par les agissements d'un blondinet à lunettes. En effet, dans sa classe, il n'avait de cesse de remarquer qu'un binoclard n'arrêtait pas de quitter les cours de temps à autres, profitant de son statut intellectuel et du soutien d'une poignée d'amis pour se soustraire des heures de classe. En toute curiosité, le Russe essaya de comprendre les motifs de tant d'absences. Ainsi, au cours d'une heure de français, le jeune homme à quelques minutes près le départ du dénommé Jérémy et de ses amis. En toute discrétion, tel un espion du KGB, il suivit et prit en filature la bande, jusqu'à arriver à l'intérieur d'une vieille usine désaffectée.
Voilà comment Kazimir en arriva à découvrir le monde de Lyoko. Au début, il lui fut difficile de comprendre dans sa cachette les différents termes employés par Jérémy. Mais lorsque le moment vint de sortir de l'ombre pour mettre au clair l'affaire, tout fut évident, bien que la situation le fut moins: Jérémy et ses amis avaient accès à un monde virtuel, via des scanners situés dans une salle adjacente de celle où se trouvait l'intello de la classe. Menacé par le leader à lunettes de voir sa mémoire effacé par le « retour vers le Passé » Kazimir réagit en conséquence, usant de son intellect pour exercer un ingénieux chantage. Ce chantage parvint à convaincre Jérémy d'intégrer Volkov aux troupes des Lyoko-Guerriers, forcé de constater les talents psychologiques et les qualités physiques de ce dernier.
Aujourd'hui, Kazimir n'est pas le plus apprécié des Lyoko-Guerriers, depuis l'incident l'ayant poussé à rejoindre la bande. Mais néanmoins, il s'avère une recrue de choix, au potentiel intéressant pour la lutte de X.A.N.A. ainsi que de son ersatz Neo-X.A.N.A...
H R P G
Âge : 16 ans. Comment avez-vous connu le forum ? Topsite ! Comment le trouvez-vous ? Plutôt prometteur. Suggestions : Aucunes en tête.
Dernière édition par Kazimir Volkov le Ven 30 Mar - 18:14, édité 9 fois
Yuria Suwan
Messages : 74 Date d'inscription : 19/02/2012 Age : 27 Localisation : 27
Sujet: Re: Russkov in da place ! Lun 26 Mar - 18:16
Coucou,
Rien ne me parait abusé, seulement comme ton personnage utilise de l'énergie pour tout, il sera vite fatiguer et à court d'énergie ça sera ses points de vie qui disparaitront.
Il ne reste plus que les descriptions et l'histoire.
Mujakina Yume
Messages : 201 Date d'inscription : 09/03/2012 Age : 27 Localisation : Dans chaque gouttes du sang que je te ferrais verser
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